| Il est tard, cesse de remuer
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| Léonard et va jouer seul pour une fois
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| Au fond du couloir
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| J’en ai marre, j’aime pas m’embêter
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| C’est bizarre tout autour de moi devient plat
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| Et ça ne change pas
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| Alors je prends mon téléphone
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| À la recherche de vérité
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| J’ai peut-être été mentionné
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| Un anniversaire oublié
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| Rien de toi ni rien de personne
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| J’attends patiemment que mon heure sonne
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| Alors, je cherche les mots au son de ma voix, hé
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| Je fais tourner des heures
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| Et je pourrais te faire aimer n’importe quoi, ouais
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| Car je chante avec le cœur pour toi
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| Oui, j’essaie d’aller bien mais je vais souvent mal
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| Dis-moi que tu le sens
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| Tu le sais, tu le sens et tu n’te méprends pas
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| Il n’y a que le train ou le bruit des cymbales
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| Pour me faire planer vraiment
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| Souvenir marquant d’une baie
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| D’un navire échoué au large à jamais
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| Je le fais pour devenir
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| Ce que je voulais réussir
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| Mais dis-moi ce qui vient après
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| Personne ne sait
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| Alors je prends mon téléphone
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| À la recherche de vacuité
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| J’ai peut-être été mentionné
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| Faites-moi des compliments
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| Sur mes photos, sur mes vêtements
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| J’ai tant de choses à faire et pourtant
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| Ah ah ouah yeah yeah
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| Et plus je cherche les mots au son de ma voix, hé
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| Moins la vie me fait peur
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| Et je pourrais te faire aimer n’importe quoi
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| Car je chante avec le cœur pour toi
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| Oui, j’essaie d’aller bien mais je vais souvent mal
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| Dis-moi que tu le sens
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| Tu le sais, tu le sens et tu n’te méprends pas
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| Il n’y a que le train ou le bruit des cymbales
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| Pour me faire planer vraiment
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| Alors je cherche les mots au son de ma voix
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| Je fais tourner des heures
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| Et je pourrais te faire chanter n’importe quoi, ouais
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| Car je t’aime de tout mon cœur |