Letras de Quinte amere - Les Tit' Nassels

Quinte amere (original)

La tête dans les nuages, les yeux imprégnés d’images, Rendu héros divin d’une
aventure aux mille desseins
Mais je suis tombé de haut, la tête encastrée dans un poteau, Je ne tomberai
pas plus bas, d’avenir croyez-moi …
Amourette de passage ou un amour aux mille visages, Peu importe le choix,
offrir une effusion sans effroi
Et je suis tombé sur toi, ton absence faisant mon désarroi, Je ne tomberai pas
plus bas, d’avenir croyez-moi …
A genoux, les mains croisées devant le maître vénéré, Don d’une partie gratuite,
la chose en serait bien forfuite
Et je suis tombé du ciel, pour ma foi jugée trop occasionnelle Je ne tomberai
pas plus bas, d’avenir croyez-moi …
M’empressant au troquet, troquant mon verre de thé-glacé Contre un élixir
magique, breuvage aux vertus sympathiques
Et je suis tombé comme ça, en rendant mon dernier repas, Je ne tomberai pas
plus bas, d’avenir croyez-moi …
Acceptant sans coup férir que la solution est d'écrire, Thérapie infidèle
devant la feuille qui reste blême
Et je suis tombé par terre, serait-ce la faute à Voltaire?
Je ne tomberai pas
plus bas, d’avenir croyez-moi …

(traducción)

Cabeza en las nubes, ojos imbuidos de imágenes, Héroe divino rendido de un
aventura de mil diseños
Pero caí desde arriba, mi cabeza se atascó en un poste, no me caeré
no más bajo, para el futuro créeme...
Un amor pasajero o un amor de mil caras, no importa la elección,
ofrecer una efusión intrépida
Y caí sobre ti, tu ausencia me angustia, no caeré
más bajo, futuro créeme...
De rodillas, con las manos cruzadas ante el maestro reverenciado, Regalo de un juego gratis,
sería fortuito
Y caí del cielo, por mi fe considerada demasiado ocasional no caeré
no más bajo, para el futuro créeme...
Corriendo al bar, cambiando mi vaso de té helado por un elixir
magia, bebida con virtudes simpáticas
Y caí así, haciendo mi última comida, no me caeré
más bajo, futuro créeme...
Aceptar sin disparar que la solución es escribir, Terapia infiel
frente a la hoja que queda pálida
Y caí al suelo, ¿será culpa de Voltaire?
no me caeré
más bajo, futuro créeme...