| Mon regard lui bronze la peau, j’allume des fleurs juste closes
|
| Et je l’habille avec ma prose et la maquille avec mes mots
|
| Un frisson descend de ses yeux, illuminant ses lvres fraches
|
| Qu’un bout de langue rose lche et tout coup… C’est merveilleux
|
| Et moi je rends les femmes belles, belles, belles,
|
| Je les toile d’tincelles, celles, celles, celles
|
| Moi je rends les femmes immortelles, telles, telles, telles
|
| Qu’on rve les astres du ciel
|
| Je les entoile de dentelles
|
| Et moi je rends les femmes belles, belles, belles
|
| Dans des vires de violoncelle, celle, celle, celle
|
| Dsutes certes mais douces
|
| Alors, savez-vous, sous la mousse
|
| Apparat une source bleue
|
| Je vous le dis… C’est merveilleux
|
| Comme un oiseau fixe la mer, intensment je l’hypnotise
|
| Et mon dsir d’elle la grise et son dsir d’tre la perd
|
| Alors d’un joli doigt nerveux, elle joue chasser quelques miettes
|
| Qui n’existent que dans sa tte et tout coup… C’est merveilleux
|
| Et moi je rends les femmes belles, belles, belles,
|
| Je les toile d’tincelles, celles, celles, celles
|
| Moi je rends les femmes immortelles, telles, telles, telles
|
| Qu’on rve les astres du ciel
|
| Je les entoile de dentelles
|
| Et moi je rends les femmes belles, belles, belles
|
| Dans des vires de violoncelle, celle, celle, celle
|
| Dsutes certes mais douces
|
| Alors, savez-vous, sous la mousse
|
| Apparat une source bleue
|
| Je vous le dis… C’est merveilleux. |