| Au temps o nous n’avions que du pain et de l’eau
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| O tu trouvais moyen de nous faire des gteaux
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| Ton amour dpassait les murs de la maison
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| En guise de cadeau, je t’offrais des chansons
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| On pourrait supposer que les choses ont chang
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| Mais ta main dans la mienne est toujours si serre
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| Que mme en plein sommeil, nos rves entremls
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| Nous prparent des jours qu’il me reste chanter
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| Le soleil un matin se lvera sans nous
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| Mais nous serons ensemble ailleurs, un peu partout
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| Dans tout ce qu’on btit, guids par ton sourire
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| Les cњurs que ton regard m’a permis d’entrouvrir
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| Sur les lieux, les objets qui les ont abrits
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| Les instants de bonheur restent jamais gravs
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| Maillons de cette chane o le temps n’a plus cours
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| Je suis sr qu’on demeure travers son amour
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| Toi, tes clats de rire ont parsem la vie
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| De ces millions d’toiles que l’on peut voir d’ici
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| On peut trouver le ciel en cherchant leur lumire
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| Aux sources de tes yeux, je bois tout l’univers
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| Tu smes autour de toi ces graines de tendresse
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| Qui germent, qui fleurissent et s’ouvrent en richesse
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| La voile de ton amour entrane par le vent
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| Nous emporte plus haut comme un grand cerf-volant
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| Mais je crois que j’irai beaucoup plus loin encore
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| Pour couvrir de soleil les chemins de ton corps
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| Et pour que notre histoire ne soit jamais finie
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| J’pouserai ton me au seuil du Paradis
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| Comme au temps des goters o au pain et l’eau
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| Tu trouvais le moyen de nous faire des gteaux
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| Ton amour a franchi les murs de l’horizon
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| Et quand pour te fter je t’cris des chansons
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| Il est vrai qu' prsent les choses ont bien chang
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| Mais ta main dans la mienne est toujours si serre
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| Que mme en plein sommeil nos rves entremls
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| Me rendent la lumire, et me portent chanter. |