Letras Je regarde le ciel pleurer - Georgio

Je regarde le ciel pleurer

Tous les jours j’attends où sont les bonnes nouvelles\nTrop d’promesses perdues dans le vent\nJe regarde le ciel pleurer, depuis ma fenêtre\nJ’ai rien à faire de plus urgent\nJ’peux plus écrire naïvement après tout c’que j’ai vu et j’ai entendu\nMa relation au monde c’est comme deux jeunes frères\nUn boxeur à la pesée, un contrôle c’est souvent tendu\nCa manque de vert ici\nTu vois comme moi, des étoiles en ciment\nJ’aimerais changer d’air là, j’commence à ghoster des gens\nJ’ose trop pas dire nan\nAtelier coloriage sur la météo\nY a que du gris sur nos vidéos\nL’ennui ça crée des passions et du bruit\nC’est comme le rap ou les rodéos\nEn t-shirt sous la pluie, capuché tout l'été\nLe monde à l’envers j’vais assumer les frais\nJ’sais plus qui m’a dit\nLes derniers seront les premiers, j’me méfie\nJ’me méfie, j’ai grandi\nOù les sentiments n’avaient pas leur place\nSavoir parler sans dire un mot\nJ’pourrais t’en faire des masterclass\nJ’regardais des films\nMa mère me disait «c'est pas d’ton âge»\nAutour de moi, y avait déjà trop d’horreurs et d’sabotages\nTous les jours j’attends où sont les bonnes nouvelles\nTrop d’promesses perdues dans le vent\nJe regarde le ciel pleurer, depuis ma fenêtre\nJ’ai rien à faire de plus urgent\nTous les jours j’attends où sont les bonnes nouvelles\nTrop d’promesses perdues dans le vent\nJe regarde le ciel pleurer, depuis ma fenêtre\nJ’ai rien à faire de plus urgent\nT’as cherché l’amour tu l’as pas trouvé\nT’as trompé ta meuf, fini par regretter\nC’est ça la vraie vie, c’est pas les fantasmes\nbraqué par mec cagoulé\nJ’vois vos vidéos, qui m’parlent de recettes pour être riche et l’bonheur tu\nl’as d’jà trouvé\nOuais c’est ça, reviens sur mes raisons, on va t’soulever\nLa raison n’aura jamais raison d’nous\nNan faut pas céder\nJ’vais pas laisser mon âme dans un CDD\nQuand on dit d’ralentir, c’est le meilleur moment pour accélérer\nEt je sais c’que j’dis, 23 ans j’pensais à la mort en esquivant les pouces bleus\nDepuis j’me sens vivant, obligé d’bouger des escaliers derrière les portes\ncoupe-feu\nJournée pluvieuse comme la veille\n17h je sors d’un rêve\nJ’ai manqué 4−5 appels\nEnvoie un message si c’est urgent\nTous les jours j’attends où sont les bonnes nouvelles\nTrop d’promesses perdues dans le vent\nJe regarde le ciel pleurer, depuis ma fenêtre\nJ’ai rien à faire de plus urgent\nTous les jours j’attends où sont les bonnes nouvelles\nTrop d’promesses perdues dans le vent\nJe regarde le ciel pleurer, depuis ma fenêtre\nJ’ai rien à faire de plus urgent\nEn c’moment j’ai du mal à écrire\nAlors c’que j’fais quand j’ai du mal à écrire\nJ’m’enferme chez moi, j’bouge pas\nY a un moment à force de vivre que dans ma tête\nCa vient d’un coup\nMais avec tout c’qui s’est passé à la fin juin\nToutes ces dingueries\nIl m’a suffit d’une nuit pour être indigné\nTous les jours j’attends où sont les bonnes nouvelles\nTrop d’promesses perdues dans le vent\nJe regarde le ciel pleurer, depuis ma fenêtre\nJ’ai rien à faire de plus urgent