Traducción de la letra de la canción Accélère - Lofofora
Información de la canción En esta página puedes leer la letra de la canción Accélère de - Lofofora. Canción del álbum Les choses qui nous dérangent, en el género Классика метала Fecha de lanzamiento: 17.11.2014 sello discográfico: Sriracha Sauce Idioma de la canción: Francés
Accélère
(original)
Nos destins s’entrelacent en traces irréversibles
J’ai comme tatoué sur la face quelques lignes indivisibles
J’ai poursuivi des ombres, désavoué la lumière, dispersé dans le nombre,
le doute, les larmes et la colère
On effacerait bien le passé, si l’on peut rien oublier
Qu’on s’y trouve, qu’on désespère, plus rien n’est à refaire
Tant de portes qui s’ouvrent, de regards qui se ferment, de silhouettes à
contre jour et de cailloux que l’on sème
Quand le silence nous rend sourds la vérité nous saigne
On effacerait bien le passé, si l’on peut rien oublier
Qu’on s’y trouve, qu’on désespère, plus rien n’est à refaire
Y' a pas de touche rewind, pas de retour au départ
Le train pour hier est reparti, c’est trop tard
Dans la salle d’attente, on se croirait dans un dortoir
Devine qui nous attend à la prochaine gare
Les histoires qui nous croisent nous construisent une à une, certaines en
statues de glace, certaines en soldats de fortune
Mes valises sont pleines de poussière et de vent
Les idées qui m’assénent vous contiennent bien autrement
On effacerait bien le passé, si l’on peut rien oublier
Qu’on s’y trouve, qu’on désespère, plus rien n’est à refaire
Ya pas de frein à la machine pas de marche arrière
Dis-moi où je vais si je regarde derrière
Je fais deux pas en avant et un pas de travers
Pour rattraper le temps dans les tunnels j’accélère.
J’accelère!
Accelere!
(traducción)
Nuestros destinos se entrelazan en huellas irreversibles
tengo como tatuado en la cara unas lineas indivisibles
He perseguido sombras, negado la luz, esparcida en número,
duda, lágrimas y rabia
Borraríamos el pasado, si no podemos olvidar nada
Que estamos ahí, que nos desesperamos, ya nada más se puede hacer
Tantas puertas que se abren, ojos que se cierran, siluetas para
luz de fondo y guijarros que sembramos
Cuando el silencio nos ensordece la verdad nos desangra
Borraríamos el pasado, si no podemos olvidar nada
Que estamos ahí, que nos desesperamos, ya nada más se puede hacer
No hay botón de rebobinado, no hay vuelta para empezar
El tren de ayer se ha ido, es demasiado tarde
En la sala de espera, se siente como un dormitorio.
Adivina quién nos espera en la siguiente estación.
Las historias que nos cruzan nos construyen una a una, algunas en
estatuas de hielo, algunas como soldados de fortuna
Mis maletas están llenas de polvo y viento
Las ideas que me sorprenden te contienen de manera muy diferente.
Borraríamos el pasado, si no podemos olvidar nada
Que estamos ahí, que nos desesperamos, ya nada más se puede hacer