Letras Hôtel 5 étoiles - Georgio

Hôtel 5 étoiles

Quoi qu’tu fasses, y en a toujours qui s’ront pas contents\nM’en veux pas si j’ai pas ton temps\nJ’suis avec mes semblables et on fait pas semblant\nEn bas d’l'échelle sociale, on grimpe, on fait nos bails\nOn parle cru, on monte les toits, on admire la vue qu’un jour, on s’offrira\nCombien s’ront prêts à faire les sacrifices qu’il faut? Même pas la moitié\nJ’parle avec mon avenir et j’me balade à pied\nJ’réflechis: combien de potes, combien d ennemis\nCombien d’ces suceurs veulent juste gratter la belle vie?\nJ’t’ouvre plus la porte de chez moi, musclé à cause de la lourdeur de mes péchés\nJ’sors de la salle facile dporter ses poids\nSi j ai tord, c est pas grave\nJ’me sens hors de la norme, je veux pas juste de la maille\nNon, j’veux tout ton amour\nLoin d'être le boss de Paname mais quand je rappe\nJe réveille Biggie comme Tupac Shakur, c’est d’la frappe\nJ’ai offert mon corps à des filles écervelées, non plus jamais\nC’est comme voir mon père pleurer: non, plus jamais\nAncré dans la réalité, dites-moi où règnent les rêves\nLa gloire, j’vais lui faire passer un très mauvais quart d’heure\nAncré dans la réalité, dites-moi où règnent les rêves\nY a toute une partie d’la jeunesse dans les manif', c’est à nous d’faire la\ndiff'\nIndigné, je veux du respect et d’l’or massif, nan\nPlus d’force pour les traitres qui disent que t’es l’soleil que lorsque qu’il\npleut\nJ’serais jamais ton gourou, j’serais jamais ton tit-pe\nJ’m’envolerais avant que mes projets battent de l’aile\nToujours les mêmes frérots, nos relations parlent d’elles-mêmes\nEn pleine nuit à deux sur mon scooter, on monte au Sacré-Cœur\nOn s’enlasse, puis demain, dans les iles, on s’en va\nAucune barrière mentale, chaque jour, j’apprends à être meilleur\nY a rien que devant l’homme qui est devant ma glace que j’dois faire mes\npreuves, eh\nPas d’service civique pour mes génies du mal\nSi on connais la justice, c est qu’on connait le tribunal\nComment rattraper nos erreurs? 16.25 on f’sait que du sale\nLes haineux jetaient du srol\nGénération dans les hall pas dans les balles\nOn s’trompe de modèle, fasciné par ceux qui vive en autarcie\nMais j’m’endors dans la plus belle suite de l’hôtel\nAncré dans la réalité, dites-moi où règnent les rêves\nLa gloire, j’vais lui faire passer un très mauvais quart d’heure\nAncré dans la réalité, dites-moi où règnent les rêves